Pour la traditionnelle « Nuit des Etoiles » le CDSA (Centre de Documentation Spécialisé en Astronomie) et le (...)
Lire la totalité de l'article O’ceam : dernier atelier d’éducation alimentaire des vacancesNe manquez pas votre dernier atelier d’éducation alimentaire des vacances : le SAMEDI 8 AOUT de 8h à 13h (...)
Lire la totalité de l'articleDans le cadre de la 13e édition du Biguine Jazz Festival, le Domaine de Fonds Saint-Jacques - Centre (...)
Lire la totalité de l'article Première édition du « Trophée Dinette Héloïse Coppet »A l’occasion de la fête du quartier Anse Mitan, la Ville des Trois-Ilets organise la première édition du « (...)
Lire la totalité de l'articleEmbarquement sur le vol du « Lézard Créatif »
Concours InterCaraïbes de Jumping à Carrère
ATOUT ENTREPRISES
Inscription atelier étude créole martiniquais
Malbouffe, sucre et violence
Le cirque de Shangai en Martinique
Pull, une comédie policière douce et amère
« CINÉMA SOUS LES ÉTOILES » Festival de films les Révoltés de l’Histoire PROJECTIONS - danse martiale - Slam
De l’énergie pour les exams
Cours de cuisine sans gluten et sans lactose
Magotaj : à vous de jouer !
La souskay de noix de coco de Prisca
La Bibliothèque Schœlcher vous invite à découvrir l’exposition de sculpture « Fers Métis » de Jean-Luc TOUSSAINT PIMENTA DA COSTA.
C’est la cinquième exposition de cet autodidacte qui travaille sur le détournement d’objets métalliques de récupération en utilisant uniquement des techniques de soudure et de forge à froid (déformation du fer sans le chauffer). Les endroits de prédilection de ses trouvailles sont les tas de ferrailles destinés aux ramassages d’encombrants, les casses auto et les montagnes de fer de la société Métal Dom (société martiniquaise de recyclage).
Le « ferrailleur modeleur », Jean-Luc TOUSSAINT vit à Schœlcher. Né d’un père malgache et d’une mère franco portugaise, élevé en partie au Sénégal, puis en Guyane française, le contact dès son plus jeune âge avec les forgerons africains équipés d’un outillage rudimentaire, lui ont donné le virus du travail du fer jeté au rebut.
Ses séjours dans l’Océan indien, en Europe de l’est et dans la Caraïbe l’ont mis en contact avec d’autres cultures et d’autres univers marginaux. L’expérience tirée de ces voyages au contact des populations ont largement influencé les thèmes sur lesquels il travaille (fétiches, rites et croyances populaires).
Masques, fétiches et symboles africains côtoient et se mélangent aux chiens fè, coqs de combat et figures des conquêtes espagnoles du bassin caribéen.
Une exposition surprenante à découvrir à la Bibliothèque Schoelcher.
Exposition visible jusqu’au 18 mai 2011
Tous droits réservés Terre locale 2011 - Une réalisation Come Online